Lecture libre

Ici, vous trouverez les nouvelles, poèmes, textes courts écrits de 2012 à aujourd'hui.

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Au milieu de l’illustration dans un coin de pièce, un fauteuil bleu au motif similaire à de l’osier. Y est assise une femme à tête de champignon rouge à pois blancs sans yeux ni bouche ni nez ni rien. Elle porte un débardeur blanc et un pantalon jaune retroussé aux chevilles. Elle a les genoux repliés au niveau de la poitrine. Sa main droite est revenu à son champignon-visage et l’autre tient un livre marron à quadrillages. Sous elle il y a une couverture rose à motifs arabesques qui tombe à moitié au sol. Sur le dossier, juste à côté de son épaule droite, il y a une petite grenouille qui semble lire aussi. À gauche de l’image, une grande fenêtre qui donne sur un ciel nocturne où l’on aperçoit au loin quelques silhouettes d’immeubles aux fenêtres allumées. une bougie allumée posée sur un tabouret en bois, une pile de livres et une autre qui a l’air de s’être effondrée. À droite une très grande plante à larges feuilles dans un pot marron, un tas de livre en bazar et une pile le livre à l’équilibre précaire. Au-dessus, trois plantes en pot sont suspendues par du tissu blanc. Le sol est vert avec des motifs de lignes ondulées, d’arabesques et de petites fleurs, le mur a le même motif mais en bordeaux tirant vers le rose, comme un vin dilué à l’eau.

Just one more chapter, Cassie Bourque (2023)

Poèmes et courts textes (2019)

"Bribe furtive 1" et "Bribe furtive 2" me sont venus quand je travaillais en tant que stagiaire à la librairie du Brouillon de Culture de Caen. Qu'est-ce qu'on en voit de la poésie derrière un comptoir de caisse, sans même avoir besoin d'ouvrir un livre. J'aurais aimé pou...

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À gauche, une étendue d’eau bleue formant des petites vagues vient éclabousser la berge à droite. Un grand tronc d’arbre couvert de vignes s’élève de la rive et vient former une courbe vers la gauche. Dessus est agenouillé un homme souriant penché à la droite d’une jeune femme presque allongée sur le bord de la rive, ses pieds nus touchant l’eau. En fond à droite il y a la forêt aux branches rousses et lianes aux fleurs roses. La femme regarde le spectateur en souriant. Elle est blonde avec une couronne de fleurs, sa robe est blanche et son tissu voilé est rependu de telle manière à ce que l’on dirait une rivière qui vient rejoindre la mer ou le lac. À son côté droit un bouquet de fleurs sauvages colorées tombe également en cascade. Le jeune homme à gauche est brun avec une couronne de fleurs oranges dans les cheveux. Il est vêtu d’un drap aux couleurs automnales : un dégradé de rouge, orange, brun. Un tissu violet, similaire à une cape, vole au dessus de lui. Il a le bras gauche passé sous la nuque de la jeune femme, la tenant à l’épaule, le nez dans son cou. Son bras droit tient le coude droit de la jeune femme qui semble lui offrir et elle a sa main gauche ramené sur son buste. C’est apparemment une scène de séduction timide et amusé du côté de la femme, entreprenant et taquin du côté de l’homme, mais visiblement réciproque. À gauche il y a une autre femme debout, de profil, l’eau lui arrive mi-cuisses. Elle a une longue chevelure ondulée rousse emportée vers la gauche par le vent avec une couronne de fleurs. Elle porte une robe jaune très transparente qui fait apparaître ses formes nues et dont elle tient une partie de sa main gauche. Ses deux bras sont levés vers le duo et elle les regarde en souriant.

L’amour au printemps, Hans Zatzka (XIXe siècle)

Danse Nocturne (2019)

Un appel à texte sur le mouvement m'a inspiré le récit d'Aimara. Pourquoi le Mexique ? Je crois qu'à ce moment-là j'avais envie de m'évader mentalement. La fin de l'année 2019 a été synonyme de changement, de mouvance, de choix radic...

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Dessin d’une femme allongée sur le dos, cadrée à la poitrine. Elle a la bouche et les yeux fermés et un chignon brun. Elle a l’air d’être une géante couchée entre des montagnes aux traits bleus. Une sorte de vent rose sort de sa bouche et passe entre les montagnes, autour d’elle sans se rependre sur elle. Quelques touches oranges sont visibles sur ses paupières, son nez, sa joue et son oreille droite, dans son cou. Une très très petite ville aux contours oranges et son cloché dépasse entre ses seins, comme si elle surgissait de deux collines. Le tout sur fond blanc légèrement rosé au grain épais.

Bed rock, Michael Howard (2015)

Soulagement (2019)

J'ai écrit ce texte pour un concours sur le thème "Un silence", avec un peu trop de contraintes : pas trop de personnages, pas trop de lieux et pas de lieux réels, pas de référence à la réalité, pas de philosophie, pas trop de dialogues, pas trop de descript...

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Sur un plancher clair, un tas d’ordures au sol est éclairé par une lumière blanche, presque bleue. L’ombre ronde projette sur le mur derrière, la forme créée par le tas qui n’a pourtant pas l’air d’en avoir. Cette photo ne le montre pas mais sous différents angles, le tas n’est pas pyramidal, c’est uniquement de face que cela donne cette impression et donc c’est un trompe-l’œil. L’ombre projetée représente deux personnes aux cheveux très courts assises dos à dos, genoux pliés. Celle de gauche une cigarette à la main, celle de droite un verre à pied typique pour le vin qu’elle porte sous le menton, son visage vers le haut.

Dirty white trash (with gulls),

Sue Webster & Tim Noble (1998)

Copains comme cochons (2018)

Cette nouvelle, c'est un défi qu'un ami m'avait lancé. J'avais quatre contraintes : ménage, ivrognerie, orgueil, littérature érotique. Autant dire que j'étais un peu foutue d'avance. Mais bon, je crois que je m'en suis pas trop mal sortie, non ?

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Sur un fond bleu nuit étoilée, deux femmes nues se font face et flottent dans cet espace. Elles ont les jambes qui se touchent et celle de droite a sa main gauche posée sur l’épaule droite de l’autre qui lui tient le poignet, coude replié. Un tissu noir transparent est emmêlé à leurs jambes et tombe très longuement vers le bas. La femme de droite est de face, souriante et fixe le spectateur, sa jambe droite et plié, talon vers la fesse. Ses cheveux ondulés sont comme des vagues noires et de l’écume grise. La femme de gauche est de dos, on voit son profil tourné un peu vers la gauche. Elle a les cheveux blonds ondulés dont une partie est coiffée à la manière d’une couronne de laurier, le reste est lâché jusqu’à mi-dos. Leurs deux chevelures flottent. Toutes les deux ont leur bras libre tendu (à gauche le gauche, à droite le droit), pointant du doigt vers le haut deux étoiles rondes, blanches et scintillantes, presque à les toucher. En second plan à droite et plus éloignées, deux autres femmes dans une position différente mais très proches avec un même drap emmêlé à leurs jambes pointent également une étoile chacune. Et au dernier plan, deux silhouettes de femmes mais éloignées l’une de l’autre, avec chacune un drap identique et les deux bras tendus vers le haut, une étoile au bout d’un doigt.

Étoiles jumelles, Luis Ricardo Falero (1881)

Sur un malentendu (2018)

Pour cette nouvelle, je me suis essayée à la comédie romantique, un genre que je n'avais jamais osé tester. Il s'avère que j'ai préféré écrire les passages romantiques comparé à ceux qui mettaient en avant la comédie, mais c'était une expérience amusa...

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Au centre une femme habillée d’un drap blanc qui ne couvre pas son sein droit et d’un grand tissu aux rayures épaisses rouges et bleues entrecoupées de plus petites couleur crème qui lui recouvre les bras, le crâne et sa chevelure brune, descendant jusqu’à la hanche coté gauche et jusqu’au genou côté droit, à la manière d’une cape trop grande. Son pied droit nu dépasse du tissu blanc sur un trottoir gris aux bords sales. Son cou est encerclé par un épais anneau de fer auquel sont reliées deux barres de fer courtes et droites qui emprisonnent ses poignets, obligeant la femme à plier les coudes à la poitrine. Elle a les poings serrés et la bouche ouverte. Elle regarde vers la gauche mais son expression ne semble pas effrayée ou en colère, plutôt comme si elle parlait fort. Au-dessus de sa tête, une chaîne qui commence hors cadre descend et se termine par un crochet où sont suspendus des bijoux : un collier de perles blanches, un bracelet épais doré, et un autre collier fait de nombreuses breloques dorées. En arrière-plan sur un mur en chaux blanc-gris, situé également au-dessus de sa tête, est accroché sur des éléments métallisés, un panonceau en bois où est inscrit une phrase en arabe à l’encre noire.

La esclava, Antonio Maria Fabrès y Costa (1886)

Nuit Blanche (2018)

J'ai écrit Nuit blanche à l'occasion d'un appel à textes sur "Le combat de la femme" par le Cercle Hypatie, une revue littéraire étudiante caennaise. Aujourd'hui, je me détache ces mots car les propos que j'y tiens sur la prostitution ne font plus partie de mes opi...

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Quatre photos d’une main droite tenant une cigarette de manière chacune différente, le tout sur fond bleu avec cadres noirs. En haut à gauche : « 01.The Expert », la cigarette tenue entre l’index et le majeur, le bout allumé dirigé vers le bas, les doigts repliés mollement. En haut à droite : « 02.The Artist », la cigarette entre le pouce et l’index, le bout vers la paume, les autres doigts ouverts. En bas à gauche : « 03.The lover », la cigarette entre l’index et le majeur, le bout dans la continuité de tous les doigts tendus. En bas à droite : « 04.The Loner », la cigarette entre le pouce et l’index, le bout vers le centre de la paume, tous les doigts repliés.

Source inconnue

Alphabet (2018)

Ces cinq textes proviennent d'un projet inachevé. Il s'agissait surtout d'exercices d'écriture : pour chaque lettre de l'alphabet, je choisissais un mot parmi une liste proposée par un ami et j'écrivais ce que cela m'inspirait. J'ai ainsi pu m'essayer au conte, au dialo...

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Au milieu de la scène, une femme de dos se coiffe d’un haut chignon châtain dans un grand miroir rectangulaire au cadre doré où se reflète également un tableau de portrait sur le mur derrière elle. Elle porte un drap blanc qui laisse son sein gauche découvert, et une jupe bleue ou rouge. Elle est assise sur une chaise en bois et en fond à droite, il y a une grande armoire en bois et le mur est bleu royal. Le style de peinture presque abstrait rend imperceptibles les détails de la scène et le visage de la femme, même les couleurs sont compliquées à discerner.

Devant la psyché, Berthe Morisot (1890)

Courts textes (2017)

L'année 2017 fut peu productive en nouvelles puisqu'à part les deux courts textes ci-dessous et la nouvelle "Dans les coulisses" pour le recueil "Murs Murs", je me suis surtout consacrée à l'écriture de mon roman. Édit : j'ai retrouvé une nouvelle que j'av...

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Un homme au centre de la scène, un genoux à terre, il tient l’autre de sa main gauche vers son buste. Il est torse nu, un drap blanc couvrant le sol et le bas de son corps à l’exception de sa jambe gauche. L’homme a un corps sculpté, des cheveux roux très bouclés et des ailes noires très sombres. Son visage est tordu en une grimace de rancune. Il regarde vers le haut d’où une lumière surgit, comme perçant les nuages noirs et bruns pour l’illuminer, le faisant se pencher comme si celle-ci était un poids.

Lucifer, Federico Ferro (2020)

La nuit allait bientôt tomber (2017)

Antique, roi, tortue : voici les trois mots qui me furent imposés par un ami pour ce texte sur le thème du lac. C'est, à mes yeux, celui qui marque un nouveau tournant dans mon écriture.

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Couverture du recueil « Murs Murs »

réalisée par Alain Delpeut

Dans les coulisses (2017)

Nouvelle écrite lors de l'Atelier d'Écriture de l'Université de Caen animé par Belinda Cannone en 2017 en partenariat avec le « Salon des Livres Époque » de Caen 2018. Cette nouvelle fait partie d'un recueil composé de dix textes sur le thème "murs" intitulé "Murs Murs" qui fut gratuitement distribué lors du salon.

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Un femme de dos porte une longue robe rouge avec un dos nu plongeant. On voit un peu de son profil gauche. Elle a un chignon brun avec un ruban rouge et une mèche bouclée tombe sur son front. Son bras droit a le coude un peu plié, sa main au dessus de sa tête, sa main gauche tient la robe pour la faire valser, ce qui donne de l’amplitude au tissu faits d’aplats de couteaux ou de serviettage, c’est difficile à distinguer. Le fond est un dégradé, du centre vers l’extérieur dans cet ordre : blanc, gris, bordeaux, noir.

Ensorceleuse, M (XXIe siècle)

Poèmes et courts textes (2016)

Un résumé annuel avec un peu plus d'affirmation en poésie et toujours une toile de fond assez sombre.

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Le tableau est très sombre, les couleurs dominantes sont gris, vert foncé, noir, brun et blanc. En fond une grotte d’où surgit une cascade écumante blanche. Sur le côté gauche un bâtiment, un pont et quelques échafaudages de bois en ruines détruits par le courant violent. Des pierres dépassent de la rivière formée par la cascade et de la mousse verte est présente un peu partout dans le décor.

La source de la Loue, Gustave Courbet (1864)

Courbet et le Réalisme (2016)

Le premier texte fut rédigé lors d'un exercice d'écriture avec l'Atelier de Belinda Cannone. Il s'agissait de décrire un personnage connu sous un angle (fictif ou pas) inconnu du public. J'ai toujours été fascinée par l'art de Gustave Courbet tout en éprouva...

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Couverture du recueil « L’étranger » illustrée par Sonia Martins : un personnage se tient derrière une table avec une nappe à carreaux. Il porte un smoking rouge et noir et un nœud papillon rouge. À la place de sa tête, une énorme huître fermée.

Couverture du recueil "L'étranger", Sonia Martins

Le chauffeur d'Henriette (2016)

Nouvelle écrite lors de l'Atelier d'Écriture de l'Université de Caen animé par Belinda Cannone en 2016 en partenariat avec le « Salon des Livres Époque » de Caen 2017. Cette nouvelle fait partie d'un recueil composé de seize textes sur le thème "L'étranger" qui f...

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Photo du tremblement de terre à Haïti en 2014. De chaque côté des bâtiment effondrés, des gravats, des morceaux de bétons, des tiges filetées tordues. Au milieu une femme de dos, porte un foulard rouge sur la tête, une chemise à motifs trop grande, une jupe noire à pois colorés, des tongs, un sac poubelle noir dans la main droite, un bidon blanc dans la gauche. Elle marche au milieu de la longue rue poussiéreuse.

Vue sur Haïti, Damon Winter (2014)

Chant à deux voix (2016)

Écrit en 2016 dans le cadre de l'Atelier d'Écriture de l'Université de Caen animé par Belinda Cannone, ce court texte reprend le thème des îles créoles choisi par le « Salon du livre et de la musique de Deauville » de 2017 et fut publié dans sa gazette annuelle.

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Sur un lit au drap blanc dont pendent deux couverture, une rouge et une jaune à motifs, une femme à la peau pâle et vêtue d’une longue robe blanche semble endormie ou évanouie sur le dos. Sa tête est renversée en arrière avec sa longue chevelure blonde ondulée, débordant du matelas, son bras droit est plié et tombe en arrière de sa tête, tandis que son bras gauche pend du lit, faisant toucher ses doigts aux sol. Elle porte un bracelet épais brun au poignet gauche. Le sol est fait de grandes dalles marrons plongées dans l’ombre. À gauche un repose-pieds en bois avec son assise bleue où la couverture rouge tombe. À l’extrême gauche un petite table basse ronde où sont posés un miroir rectangulaire au cadre sculpté en spirale et un petit plateau en bois rectangulaire contenant un long flacon transparent et un flacon plus épais marron peut-être en terre cuite. Sur le ventre de la femme, une créature est assise, les genoux ramenés au torse, une main aux longs doigts sur son genou, l’autre à son menton. Elle est poilue, brune, aux oreilles pointues, au visage renfermé tourné vers le spectateur avec un gros nez rond, et et des yeux sombres et méchants grands ouverts. Un rideau rouge couvre tout le fond, et à gauche, en sort une tête de cheval noir tournée vers la droite, aux yeux blancs sans pupilles qui regardent la scène.

Le Cauchemar, Johann Heinrich Füssli (1781)

Poèmes et courts textes (2013 à 2015)

J'ai rassemblé ici une sélection parmi les bribes de ce que j'ai pu écrire durant ces trois années. Même si je remarque immédiatement en eux quelque chose de bien naïf, je trouvais important de les partager, comme témoignage de mon parcours. Je vous ai épargné les po...

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Couverture du recueil "Nombres"

Ernest (2015)

Nouvelle écrite lors de l'Atelier d'Écriture de l'Université de Caen animé par Belinda Cannone en 2015 en partenariat avec le « Salon des Livres Époque de Caen 2016 ». Cette nouvelle fait partie d'un recueil composé de treize textes sur le thème "Nombres" qui f...

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Une femme assise peint le portrait de la femme qui se tient devant elle et qui tient un luth. Voir le texte "Pluie d'Automne" pour une description plus approfondie.

Artiste peignant le portrait d'une musicienne,

Marguerite Gérard (1803)

Pluie d'Automne (2015)

Cette très courte nouvelle a été écrite en 2015 pour la revue du "Salon du livre et de la musique de Deauville" 2016. Chaque année, ce salon met un pays à l'honneur : l'Italie fut l'heureux élu pour cette première édition. C'est aussi le premier texte que j'ai pu produire avec...

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Image surréaliste de de têtes de personnages de profil avec des grands yeux ouverts (celui de droite à une larme à l’œil) et des crânes étirés. Leurs cous dégoulinent comme un tissu déchiré tenant par des tiges accrochées à des carapaces de tortue. L’espace entre leurs longs nez et leurs bouches en sourires jusqu’aux oreilles étirées forme une silhouette blanche de personnage ballerine à la tête ronde sans visage entre les deux nez, les bras ouverts suivants les ouvertures des lèvres, le tutu suit les lignes des mentons et les jambes aux pieds chaussés de demis-pointes s’étendent le long des cous. La danseuse étoile blanche immaculée s’oppose totalement aux couleurs de chaire verdâtre des deux têtes, au gris sale des carapaces et au fond en dégradé brun.

Extrait du film d'animation "Destino",

Salvador Dali et Walt Disney (2003)

La Voix (2012)

Ces deux textes furent écrits lorsque j'étais en seconde au lycée pour un concours sur le thème de la voix, réservé aux classes de français. C'était la première fois que j'écrivais un texte destiné à être lu en public : devant les élèves de mon cours puis devant jur...

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